Nouveauté

    Violence

    Personnes immigrantes

    Comportements non désirés en ligne

    Selon le genre

    En 2018, parmi les personnes immigrantes, les femmes internautes tendaient à être plus susceptibles que les hommes du même groupe d’avoir vécu au moins un comportement non désiré en ligne au cours des 12 mois précédant l’enquête. Toutefois, la différence observée n’est pas significative.

    Chez les personnes non immigrantes, les femmes étaient proportionnellement plus nombreuses que les hommes à avoir vécu un comportement non désiré en ligne dans les 12 mois précédant l’enquête (15 % c. 11 %).

    Selon le statut d’immigration

    En 2018, chez les femmes internautes, la proportion de femmes immigrantes et celle des femmes non immigrantes qui ont vécu au moins un comportement non désiré en ligne au cours des 12 mois précédant l’enquête ne différaient pas significativement.

    On fait le même constat chez les hommes.

    Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Comportements non désirés en ligne.

    Comportements sexuels non désirés en public

    Selon le genre

    En 2018, au Québec, près du quart des femmes immigrantes (24 %) avaient vécu au moins un comportement sexuel non désiré en public au cours des 12 mois précédant l’enquête, soit une proportion plus élevée que celle des hommes immigrants (11 %*).

    Le même constat est fait chez les personnes non immigrantes.

    Selon le statut d’immigration

    En 2018, la proportion de femmes immigrantes qui ont vécu au moins un comportement sexuel non désiré en public au cours des 12 mois précédant est semblable à celle des femmes non immigrantes.

    Il en est de même chez les hommes.

    Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Comportements sexuels non désirés en public.

    Comportements sexuels non désirés au travail

    Selon le genre

    En 2018, au Québec, près du quart des femmes immigrantes (23 %*) avaient vécu au moins un comportement sexuel non désiré dans leur milieu de travail au cours des 12 mois précédant l’enquête. Elles étaient plus susceptibles que les hommes du même groupe d’avoir subi de tels comportements (13 %*).

    On établit le même constat selon le genre chez les personnes non immigrantes.

    Selon le statut d’immigration

    En 2018, la proportion de femmes immigrantes qui ont subi au moins un comportement sexuel non désiré au travail au cours des 12 mois précédant l’enquête ne différait pas significativement de celle des femmes non immigrantes.

    Il en est de même chez les hommes.

    Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Comportements sexuels non désirés au travail.

    Agressions sexuelles autodéclarées

    Selon le genre

    Selon les données de 2018, au Québec, près d’une femme immigrante sur cinq (19 %) a déjà subi au moins une agression sexuelle depuis l’âge de 15 ans, une proportion plus élevée que celle des hommes immigrants (4,5 %**).

    Ce même constat selon le genre se dégage chez les personnes non immigrantes.   

    Selon le statut d’immigration

    Les femmes immigrantes sont, en proportion, moins nombreuses que les femmes non immigrantes à avoir subi une agression sexuelle depuis l’âge de 15 ans (19 % c. 26 %). Cette plus faible proportion pourrait être attribuable, entre autres, au fait que certaines barrières à la dénonciation peuvent affecter plus particulièrement certaines personnes immigrantes.

    On ne détecte aucune différence significative entre les hommes immigrants et non immigrants.

    Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Agressions sexuelles autodéclarées.

    Victimisation associée à la violence entre partenaires intimes

    Selon le genre

    Selon les données de 2018, au Québec, un peu plus du quart des femmes immigrantes (26 %) ont vécu de la victimisation associée à la violence entre partenaires intimes depuis l’âge de 15 ans. Cette proportion est plus élevée que celle des hommes du même groupe (19 %).

    On fait les mêmes constats entre les femmes et les hommes chez les personnes non immigrantes.

    Selon le statut d’immigration

    En 2018, les femmes non immigrantes étaient proportionnellement plus nombreuses que les femmes immigrantes à avoir vécu de la victimisation associée à la violence entre partenaires intimes depuis l’âge de 15 ans (34 % c. 26 %). Cette plus faible proportion pourrait être attribuable, entre autres, au fait que des obstacles à la dénonciation peuvent affecter plus particulièrement certaines personnes immigrantes.

    On ne détecte pas de différence statistiquement significative chez les hommes selon le statut d’immigration.

    Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Victimisation associée à la violence entre partenaires intimes.

    Dernière mise à jour : 27 février 2025
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