Personnes aînées
Comportements non désirés en ligne
Selon le genre
En 2018, la proportion de femmes et celle des hommes internautes qui ont vécu au moins un comportement non désiré en ligne au cours des 12 mois précédant l’enquête ne différaient pas significativement.
Toutefois, les femmes de 15 à 64 ans étaient, en proportion, plus nombreuses que les hommes de ce groupe d’âge à avoir vécu un tel comportement non désiré en ligne.
Selon le groupe d’âge
Les femmes internautes de 65 ans et plus étaient, en proportion, moins nombreuses que celles de 15 à 64 ans à avoir subi au moins un comportement non désiré en ligne au cours des 12 mois précédant l’enquête (6 %* c. 17 %).
On fait des constats similaires chez les hommes.
Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Comportements non désirés en ligne.
Comportements sexuels non désirés en public
Selon le genre
En 2018, une femme de 65 ans et plus sur dix (10 %) avait vécu au moins un comportement sexuel non désiré en public au cours des 12 mois précédant l’enquête, soit une proportion plus élevée que celle des hommes du même groupe d’âge (3,9 %*).
On fait les mêmes constats entre les femmes et les hommes chez les 15-64 ans.
On constate que l’écart entre les femmes et les hommes de 15 à 64 ans est significativement plus grand que celui observé entre les femmes et les hommes de 65 ans et plus.
Selon le groupe d’âge
Les femmes aînées étaient proportionnellement moins nombreuses que celles de 15 à 64 ans à avoir vécu au moins un comportement sexuel non désiré en public au cours de l’année précédant l’enquête (10 % c. 29 %).
On observe aussi que la proportion d’hommes aînés qui ont vécu de tels comportements était moins élevée que celle des hommes de 15 à 64 ans.
Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Comportements sexuels non désirés en public.
Comportements sexuels non désirés au travail
Selon le genre
En 2018, la proportion de femmes et celle des hommes de 65 ans et plus qui ont vécu un comportement sexuel non désiré au travail ne différaient pas significativement.
Toutefois, les femmes de 15 à 64 ans étaient proportionnellement plus susceptibles que les hommes de cette tranche d’âge d’avoir subi au moins un comportement non désiré en milieu de travail dans les 12 mois précédant l’enquête.
Selon le groupe d’âge
En 2018, les femmes aînées étaient proportionnellement moins nombreuses que celles de 15 à 64 ans à avoir subi au moins un comportement sexuel non désiré en milieu de travail au cours des 12 mois précédant l’enquête (13 %** c. 25 %).
Les constats sont semblables chez les hommes.
Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Comportements sexuels non désirés au travail.
Agressions sexuelles autodéclarées
Selon le genre
Les données de 2018 indiquent que près d’une femme de 65 ans et plus sur cinq (18 %) a subi au moins une agression sexuelle depuis l’âge de 15 ans, une proportion plus élevée que celle des hommes du même âge (6 %).
Chez les 15-64 ans, la proportion de femmes ayant subi au moins une agression sexuelle est également plus élevée que celle des hommes.
Selon le groupe d’âge
Les femmes aînées sont en proportion moins nombreuses que celles âgées de 15 à 64 ans à avoir indiqué avoir subi au moins une agression sexuelle depuis l’âge de 15 ans (18 % c. 27 %). Cette plus faible proportion pourrait être attribuable, entre autres, à un biais de mémoire.
On ne détecte aucune différence significative selon le groupe d’âge chez les hommes.
Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Agressions sexuelles autodéclarées.
Victimisation associée à la violence entre partenaires intimes
Selon le genre
Les données de 2018 indiquent qu’une femme de 65 ans et plus sur cinq (20 %) a vécu de la victimisation associée à la violence entre partenaires intimes au cours de sa vie. Cette proportion est plus élevée que celle des hommes du même groupe d’âge (9 %).
Il en est de même chez les personnes de 15 à 64 ans.
Selon le groupe d’âge
Les femmes de 65 ans et plus sont, en proportion, moins nombreuses que celles de 15 à 64 ans à avoir vécu de la victimisation associée à la violence entre partenaires intimes depuis l’âge de 15 ans (20 % c. 37 %). Cette plus faible proportion pourrait être attribuable, entre autres, à un biais de mémoire.
On tire le même constat chez les hommes.
Les notes méthodologiques peuvent être consultées dans la page de l'indicateur Victimisation associée à la violence entre partenaires intimes.