Les étudiants québécois tendent à être plus présents que leurs homologues canadiens sur le marché de l’emploi. En 2011, la conciliation travail-études représente le lot quotidien d’environ deux étudiants sur cinq, soit 42 % des étudiants. Selon les données de l’Enquête sur la population active (EPA), par rapport à 1981, le taux d’emploi a connu un bond considérable d’environ 20 points.